De retour au village minier abandonné de Hellfurt, les aventuriers pansent leurs blessures et s'interrogent. Que se trouvait-il dans les mines que Lord MondGesitch, le Champion du Chaos, cherchait lui aussi et que, selon toutes vraisemblances, les Templiers de Sigmar rencontrés durant la nuit d'horreur à Waldstein, avaient maintenant en leur possession ? Selon les déductions de l'érudit Albrecht Reikstein, il ne peut s'agir que d'un artefact ou d'une source de magie au pouvoir impie terrifiant, tel que de la pierre distordante, pure cristallisation d'énergie magique, source de tous les fantasmes et de tous les délires mégalomaniaques des sorciers du Vieux Monde.
D'autres interrogations tourmentent Andréas. Pour quelles raisons Brume de Lys l'a-elle fait se rendre jusqu'à Hellfurt ? Quels sont les rapports insoupçonnables qui lient la Bretonienne, Les Templiers de Sigmar, La secte de Tzeentch de l'Ordo Conmutatio à Nuln et le Champion du Chaos MondGesitch ? Toutes ces questions, sans réponses claires et décisives, se pressent dans son esprit, et ce n'est pas les oracle Sibyllins de Bana qui peuvent y apporter des réponses éclairantes. La seule chose dont le nobliau de Nuln peut s'assurer en cet instant est que leur aventure dans les mines de Hellfurt a failli les mener, lui et ses compagnons, à leur perte ! Rupprecht, Dolgareck et Ulrich vont-ils accepter de l'accompagner au-delà, là où lui-même commence à désespérer de trouver un sens et une raison saine à poursuivre sa quête amoureuse ?
DES RETROUVAILLES INATTENDUES !
A Bröckel, les aventuriers retrouvent l'agent impérial dans une taverne locale. A la grande stupeur d'Andréas, Brume de Lys se trouve là elle aussi, attablée à quelques mètres seulement de tous ceux qui la recherchent ! La stupéfaction du jeune noble de Nuln est d'autant plus grande qu'en lieu et place de la Bretonnienne, ses compagnons ne voient qu'une vielle femme avinée et répandue sur sa table.
L'agent d'Altdorf essaye de connaitre les raisons de la visite des aventuriers - qu'il a suivi jusque là-bas - dans les mines de Hellfurt et la véritable connexion qu'il existe entre eux et la Bretonnienne. Devant un nouveau refus cinglant d'Andréas de collaborer avec les personnes dont cette agence secrète représente les intérêts, l'agent les quitte en les menaçant des dangers qu'encourent ceux qui se trouvent sur leur chemin. Andréas, qui jusque là a tant bien que mal réussit à contenir son excitation et sa crainte, peut alors profiter des retrouvailles tant espérées avec Brume de Lys. Mais en guise de rendez-vous galant ou d'éclaircissement sur son comportement mystérieux, la renégate ne fait que lui avouer le stratagème dont il a été l'outil à Nuln et l'encourage à la retrouver encore. La Bretonnienne disparait comme par enchantement. Il ne s'agissait en fait que de son image illusoire, magie dont elle semble être maitresse. Laissant le piteux Andréas à sa torture, Brume de Lys, ombre dans la nuit, se rend en direction de ses nébuleux desseins.
Ce soir là, déconfit, le jeune noble de Nuln trouve l'oubli dans l'alcool. Malgré le cynisme coutumier de Brume de Lys, il ne peut pas penser que ses sentiments envers lui puissent être feints. Mais qui est-elle vraiment ? Que veut-elle ? Obscurément, sa passion amoureuse laisse place à un pressentiment plus vague, plus grave, qui l'engage pourtant à continuer sa poursuite à travers l'Empire. De leur côté, Rupprecht, Dolgareck et Ulrich se trouvent en face d'un dilemme moral : ils ne peuvent se résoudre à abandonner leur camarade à ses affres, mais ils se trouvent dans la nécessité impérieuse de dégager des raisons claires afin de l'accompagner plus avant dans un voyage encore plus hasardeux, jusqu'au Col du Feu Noir, autre emplacement signalé sur le plan de l'Empire qu'elle a laissé à Andréas à Altdorf. Ils décident alors de jouer un jeu dangereux : accepter de rejoindre cet inquiétant groupe secret à l'insu de leur camarade afin de l’aider à retrouver la Bretonnienne et, si faire ce peut, défaire le nœud de l'intrigue qu’elle ourdit.
ENGAGEZ-VOUS QU'ILS DISAIENT...
DES RETROUVAILLES INATTENDUES !
A Bröckel, les aventuriers retrouvent l'agent impérial dans une taverne locale. A la grande stupeur d'Andréas, Brume de Lys se trouve là elle aussi, attablée à quelques mètres seulement de tous ceux qui la recherchent ! La stupéfaction du jeune noble de Nuln est d'autant plus grande qu'en lieu et place de la Bretonnienne, ses compagnons ne voient qu'une vielle femme avinée et répandue sur sa table.
L'agent d'Altdorf essaye de connaitre les raisons de la visite des aventuriers - qu'il a suivi jusque là-bas - dans les mines de Hellfurt et la véritable connexion qu'il existe entre eux et la Bretonnienne. Devant un nouveau refus cinglant d'Andréas de collaborer avec les personnes dont cette agence secrète représente les intérêts, l'agent les quitte en les menaçant des dangers qu'encourent ceux qui se trouvent sur leur chemin. Andréas, qui jusque là a tant bien que mal réussit à contenir son excitation et sa crainte, peut alors profiter des retrouvailles tant espérées avec Brume de Lys. Mais en guise de rendez-vous galant ou d'éclaircissement sur son comportement mystérieux, la renégate ne fait que lui avouer le stratagème dont il a été l'outil à Nuln et l'encourage à la retrouver encore. La Bretonnienne disparait comme par enchantement. Il ne s'agissait en fait que de son image illusoire, magie dont elle semble être maitresse. Laissant le piteux Andréas à sa torture, Brume de Lys, ombre dans la nuit, se rend en direction de ses nébuleux desseins.
Ce soir là, déconfit, le jeune noble de Nuln trouve l'oubli dans l'alcool. Malgré le cynisme coutumier de Brume de Lys, il ne peut pas penser que ses sentiments envers lui puissent être feints. Mais qui est-elle vraiment ? Que veut-elle ? Obscurément, sa passion amoureuse laisse place à un pressentiment plus vague, plus grave, qui l'engage pourtant à continuer sa poursuite à travers l'Empire. De leur côté, Rupprecht, Dolgareck et Ulrich se trouvent en face d'un dilemme moral : ils ne peuvent se résoudre à abandonner leur camarade à ses affres, mais ils se trouvent dans la nécessité impérieuse de dégager des raisons claires afin de l'accompagner plus avant dans un voyage encore plus hasardeux, jusqu'au Col du Feu Noir, autre emplacement signalé sur le plan de l'Empire qu'elle a laissé à Andréas à Altdorf. Ils décident alors de jouer un jeu dangereux : accepter de rejoindre cet inquiétant groupe secret à l'insu de leur camarade afin de l’aider à retrouver la Bretonnienne et, si faire ce peut, défaire le nœud de l'intrigue qu’elle ourdit.
ENGAGEZ-VOUS QU'ILS DISAIENT...
ÇÀ CHAUFFE AU REISENDELÖFFEL !
Sur le chemin du retour vers Altdorf, les aventuriers font une halte à la Reisendelöffel ( la Cuillière du Voyageur), une auberge-relais des 4 saisons située à l'extérieur de Kutenholz, dans le Middenland. Ils reposent leurs corps fatigués par une nouvelle longue journée de voyage autour d'une table de la grande salle de l'établissement lorsque Andréas est accosté par un Halfeling jovial : "Matthaeus, c'est toi ? Tu ne me reconnais pas ?...". Le Halfeling est persuadé de l'avoir rencontré tantôt. Pour éconduire d'une manière cordiale le petit humanoïde sympathique mais par trop insistant, Andréas lui signale sa confusion en lui donnant son identité. L'attitude du curieux personnage change alors sensiblement : "C'est un drôle de hasard - dit-il alors, sur un ton plus grave - justement mes amis et moi sommes à la recherche d'un certain Andréas...de Nuln...". Sans délai, comme un fait exprès, les "amis" de l'Halfeling font leur entrée dans la grande salle de l'auberge relais : Olgarina Sasko, une femme inquiétante aux cheveux noirs de jais munie d'une arbalète, un homme d'une quarantaine d'année, au visage gris et émacié portant une grande tunique sombre et un chapeau à larges bords typiques d'un sorcier, et, passant difficilement par l'encadrement de la porte...un Ogre, avec un tronc d'arbre en guise d'arme !
En quelques secondes, tous se figent. Les aventuriers comprennent qu'ils ont à faire à une équipe de chasseurs de primes qui ont compris avoir trouvé leur proie. Rupprecht écrase sa masse d'armes sur le halfeling qui s'abat au sol, fracassé par la puissance du coup. Ulrich, pris d'une velléité de hardiesse, survit par miracle aux assauts de la cheftaine de la bande. Oughlahoud, lui aussi, ne doit sa survie qu'à l'intervention divine de Bana, son fétiche, qui dévie miraculeusement le tronc d'arbre de l'Ogre de son frêle crâne d'ébène (les voies de Bana sont impénétrables !).
Les aventuriers se saisissent de Rupprecht gagné par la frénésie et détalent à toutes enjambées par une porte de service latérale avant que le magicien n'ait eu le temps d'incanter un de ses redoutables sortilèges. Ils arrivent à se tirer de cette chausse-trappe par l'entremise d'une grâce du ciel - non pas de Sigmar - par l'arrivée impromptue d'un navire volant, nouvelle invention infernale des deux frères engingneurs Barack et Decker Thoricson de Nuln (voir l'aventure Voyage Mortel à Altdorf) qui leur lancent une échelle de corde pour embarquer à bord.
En quelques secondes, tous se figent. Les aventuriers comprennent qu'ils ont à faire à une équipe de chasseurs de primes qui ont compris avoir trouvé leur proie. Rupprecht écrase sa masse d'armes sur le halfeling qui s'abat au sol, fracassé par la puissance du coup. Ulrich, pris d'une velléité de hardiesse, survit par miracle aux assauts de la cheftaine de la bande. Oughlahoud, lui aussi, ne doit sa survie qu'à l'intervention divine de Bana, son fétiche, qui dévie miraculeusement le tronc d'arbre de l'Ogre de son frêle crâne d'ébène (les voies de Bana sont impénétrables !).
Les aventuriers se saisissent de Rupprecht gagné par la frénésie et détalent à toutes enjambées par une porte de service latérale avant que le magicien n'ait eu le temps d'incanter un de ses redoutables sortilèges. Ils arrivent à se tirer de cette chausse-trappe par l'entremise d'une grâce du ciel - non pas de Sigmar - par l'arrivée impromptue d'un navire volant, nouvelle invention infernale des deux frères engingneurs Barack et Decker Thoricson de Nuln (voir l'aventure Voyage Mortel à Altdorf) qui leur lancent une échelle de corde pour embarquer à bord.
ATTERRISSAGE EN DOUCEUR
Sur le pont de l'Aéro-coche, les frangins nains n'ont de cesse de vanter l'ingéniosité de leur création, susceptible selon eux de révolutionner le transport dans le Vieux-Monde. Pour prouver leur dire, ils ont relevé le pari de la guilde des cochers d'Altdorf de faire l'aller retour Altdorf-Middenheim en seulement 2 semaines, là où une diligence en met le double. Mais soudainement une avarie se produit. L'engin a été saboté par un garçon d'écurie à l'auberge du BauchenKobold à la solde de la compagnie des diligence des 4 saisons pour les faire échouer dans leur entreprise. Guidés par les instructions des engingneurs, les aventuriers interviennent avec efficacité sur les différentes pièces défectueuses et réussissent à éviter le crash de l'appareil qui atterrit en catastrophe dans un champ agricole. Malgré la colère du paysan concerné, ils sont invités à passer la nuit à la ferme où Rupprecht retrouve Karl-Franz Mittenmann, un prêtre de Véréna du Wissenland avec lequel il a voyagé quelque temps en direction de leur destination septentrionale. Le jeune homme, à peine un peu moins âgé que lui, est finalement arrivé à destination, le monastère d'Eimar voisin où les religieux les plus doués de la déesse de la justice sont formés afin d'officier aux dignités les plus élevées de leur clergé ou dans le giron de la haute noblesse de l'Empire.
Les avaries de l'Aéro-coche sont plus superficielles que redoutées. Après une rapide réparation, le lendemain, l'engin reprend son vol jusqu'à Altdorf, cette fois sans aucun incident.
RIEN NE VA PLUS A ALTDORF !
Les bourdons de la Grande Cathédrale de Sigmar résonnent quand les aventuriers retrouvent la capitale de l'Empire. Il règne une agitation sans mesure à la porte de Middenheim. Les guides racoleurs, les démagogues, les prophètes, les agitateurs, vocifèrent, palabrent, s'invectivent. L'Empereur Karl-Franz Ier est mort ! En réalité, il serait mort depuis plus d'une semaine, mais les autorités impériales Sigmarites d'Altdorf, déconcertés par la mort brutale du prince Wolfgang Holswig-Abenaeur, neveu de Karl Franz et héritier présomptif, lors de la dernière diète d'Empire (ayant révélé sa véritable nature de mutant en pleine assemblée des Grands Électeurs - le Volkshalle - il a été tué par le MiddenMarshall alors qu'il voulait attenter à la vie de Boris Todbringer, le Graf de Middenheim), sont jusque là parvenus à repousser la déclaration. Le pot aux roses a été découvert par un groupe de plénipotentiaires de Middenheim au Palais Impérial.
Une autre mauvaise nouvelle attend les aventuriers. Les nains du Metalschlack sont surpris de ne pas retrouver Furgil, le petit frère de Dolgareck, en leur compagnie. En effet, il a disparu juste après leur départ en direction de Hellfurt. Tous pensaient qu'il les avait rejoint dans leur périple malgré le refus de son frère. Qu'est-il donc encore passé dans la tête folle de ce jeune nain ?
Dans la nuit, Rupprecht est tourmenté par un violent rêve de massacre.
Le lendemain, chacun vaque à ses préoccupations et prépare le long voyage dans la partie méridionale de l'Empire, jusqu'au très redouté Col du Feu Noir. Les aventuriers savent qu'ils n'ont pas le temps de s'appesantir, la dangereuse bande de chasseurs de primes sont certainement toujours à leur trousse. Près du quartier nain, un meurtre effroyable a été commis dans la nuit. La victime a été décapitée et démembrée. Dolgareck enquête au sujet de son frère, mais ses recherches restent vaines. Personne ne semble savoir où il se trouve. Rupprecht rend visite au temple de Mòrr duquel il est chassé par son prêtre référent, le vieux père Friedmann, extrêmement préoccupé par l'état spirituel du jeune homme. Lorsqu'il retourne à la brasserie de Gorovin, Rupprecht retrouve Margarita, la jeune prostituée avec laquelle il a passé une nuit d'amour (ses compagnons l'avaient alors fait passé pour une cousine d'Andréas. Voir Altdorf). La malheureuse, atteinte de la maladie infamante de la variole pourpre, lui dévoile son amour et sa véritable identité, mais ivre de colère, Rupprecht s'en prend méchamment à elle. Un bon coup du plat de la hache de Dolgareck sur le somment du crâne lui fait lâcher sa prise.
Les avaries de l'Aéro-coche sont plus superficielles que redoutées. Après une rapide réparation, le lendemain, l'engin reprend son vol jusqu'à Altdorf, cette fois sans aucun incident.
RIEN NE VA PLUS A ALTDORF !
Les bourdons de la Grande Cathédrale de Sigmar résonnent quand les aventuriers retrouvent la capitale de l'Empire. Il règne une agitation sans mesure à la porte de Middenheim. Les guides racoleurs, les démagogues, les prophètes, les agitateurs, vocifèrent, palabrent, s'invectivent. L'Empereur Karl-Franz Ier est mort ! En réalité, il serait mort depuis plus d'une semaine, mais les autorités impériales Sigmarites d'Altdorf, déconcertés par la mort brutale du prince Wolfgang Holswig-Abenaeur, neveu de Karl Franz et héritier présomptif, lors de la dernière diète d'Empire (ayant révélé sa véritable nature de mutant en pleine assemblée des Grands Électeurs - le Volkshalle - il a été tué par le MiddenMarshall alors qu'il voulait attenter à la vie de Boris Todbringer, le Graf de Middenheim), sont jusque là parvenus à repousser la déclaration. Le pot aux roses a été découvert par un groupe de plénipotentiaires de Middenheim au Palais Impérial.
Une autre mauvaise nouvelle attend les aventuriers. Les nains du Metalschlack sont surpris de ne pas retrouver Furgil, le petit frère de Dolgareck, en leur compagnie. En effet, il a disparu juste après leur départ en direction de Hellfurt. Tous pensaient qu'il les avait rejoint dans leur périple malgré le refus de son frère. Qu'est-il donc encore passé dans la tête folle de ce jeune nain ?
Dans la nuit, Rupprecht est tourmenté par un violent rêve de massacre.
Le lendemain, chacun vaque à ses préoccupations et prépare le long voyage dans la partie méridionale de l'Empire, jusqu'au très redouté Col du Feu Noir. Les aventuriers savent qu'ils n'ont pas le temps de s'appesantir, la dangereuse bande de chasseurs de primes sont certainement toujours à leur trousse. Près du quartier nain, un meurtre effroyable a été commis dans la nuit. La victime a été décapitée et démembrée. Dolgareck enquête au sujet de son frère, mais ses recherches restent vaines. Personne ne semble savoir où il se trouve. Rupprecht rend visite au temple de Mòrr duquel il est chassé par son prêtre référent, le vieux père Friedmann, extrêmement préoccupé par l'état spirituel du jeune homme. Lorsqu'il retourne à la brasserie de Gorovin, Rupprecht retrouve Margarita, la jeune prostituée avec laquelle il a passé une nuit d'amour (ses compagnons l'avaient alors fait passé pour une cousine d'Andréas. Voir Altdorf). La malheureuse, atteinte de la maladie infamante de la variole pourpre, lui dévoile son amour et sa véritable identité, mais ivre de colère, Rupprecht s'en prend méchamment à elle. Un bon coup du plat de la hache de Dolgareck sur le somment du crâne lui fait lâcher sa prise.
Andréas, résolu à noyer son trouble et ses dernières désillusions, passe une nuit coquine en charmante compagnie avec la comédienne de l'opéra d'Altdorf qui avait tantôt cédé à son charme. Rupprecht, claquemuré pour la nuit dans sa chambre par ses compagnons, réussit à prendre la fuit et à retrouver Margarita. Ces deux âmes torturées se réconcilient dans une étreinte nocturne passionnée et décident de s'unir l'un à l'autre sur le chemin conjoint de la rédemption.
Au lendemain, les aventuriers décident de se diviser en deux groupes. Ulrich et Oughlahoud se rendent à Bögenhafen par diligence afin de remettre le message du SchwarzAuge au fameux Cévaldez. Ce premier, grimé avec les vêtements de qualité d'Andréas adopte une attitude péremptoire pour se faire passer pour lui et de la sorte orienter la bande d'Olgarina dans une mauvaise direction. Le reste de la troupe, Rupprecht, Margarita, Albrecht, Andréas et Dolgareck, se dirigent à bord d'un autre coche vers Nuln en passant par Kemperbad. Tandis que les amis se souhaitent au revoir et bonne chance, Gorovin, vient trouver Dolgareck. Il n'a osé en parler à personne pour ne pas désoler le vieux Brorim mais il lui semble avoir aperçût Fulgrim le jour de son départ, franchissant la porte de Nuln comme s'apprête à le faire les aventuriers, la barbe et le crâne rasés...Le vieux nain brasseur et Dolgareck savent ce que cela signifie. Fulgrim a épousé la voie mortifère des pourfendeurs de Trolls qui consiste à rechercher une mort honorable pour laver un inguérissable affront ! Dolgareck sait qu'il se dirige sur les pas de son jeune frère, mais va t-il le retrouver à temps pour lui éviter cette fin tragique ?!
Au lendemain, les aventuriers décident de se diviser en deux groupes. Ulrich et Oughlahoud se rendent à Bögenhafen par diligence afin de remettre le message du SchwarzAuge au fameux Cévaldez. Ce premier, grimé avec les vêtements de qualité d'Andréas adopte une attitude péremptoire pour se faire passer pour lui et de la sorte orienter la bande d'Olgarina dans une mauvaise direction. Le reste de la troupe, Rupprecht, Margarita, Albrecht, Andréas et Dolgareck, se dirigent à bord d'un autre coche vers Nuln en passant par Kemperbad. Tandis que les amis se souhaitent au revoir et bonne chance, Gorovin, vient trouver Dolgareck. Il n'a osé en parler à personne pour ne pas désoler le vieux Brorim mais il lui semble avoir aperçût Fulgrim le jour de son départ, franchissant la porte de Nuln comme s'apprête à le faire les aventuriers, la barbe et le crâne rasés...Le vieux nain brasseur et Dolgareck savent ce que cela signifie. Fulgrim a épousé la voie mortifère des pourfendeurs de Trolls qui consiste à rechercher une mort honorable pour laver un inguérissable affront ! Dolgareck sait qu'il se dirige sur les pas de son jeune frère, mais va t-il le retrouver à temps pour lui éviter cette fin tragique ?!
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